mardi 14 février 2012

La mémoire des murs - Tatiana DE ROSNAY


Quatrième de couverture:L'appartement correspondait exactement à ce que Pascaline, une informaticienne de 40 ans, imaginait pour sa nouvelle vie de femme divorcée, sans enfants. Un deux-pièces calme et clair qui donne sur une rue animée. Mais à peine installée, Pascaline apprend par une voisine qu'un drame s'est déroulé dans ces lieux. Comment vivre dans des murs marqués par l'horreur ? Comment continuer à dormir là comme si de rien était ? Et pourquoi Pascaline ne cesse-t-elle d'y penser ? Lentement mais sûrement, par touches infimes, cette tragédie fera ressurgir chez Pascaline une ancienne douleur, une fragilité secrète restée trop longtemps enfouie. Seule face à la mémoire des murs, elle devra affronter son passé.
L'avis de Laetitia :

Mon histoire avec ce livre: J'ai assisté à une séance de dédicaces de cette auteure que j'adore et dont la plume m'avait tant émue dans son best-seller " Elle s'appelait Sarah".

Je l'ai donc acheté pendant la séance et ai demandé une dédicace.

Mes Impressions: J'ai aimé ce petit livre, facile à lire et particulièrement prenant.

La fin nous laisse dans le questionnement, car nous ne savons pas réellement comment cela se termine mais d'après ce que nous savons sur le personnage à travers les pages lues précédemment, on peut se faire une idée.

Tatiana De Rosnay fait monter la pression en douceur et nous transporte complètement dans l'intrigue. Je vous le conseille fortement!

L'Avis d'Elsa :

Mon histoire avec le livre : Ma petite Laëti me l'a offet pour Noël.

Mes Impressions : J'ai beaucoup aimé ce roman, très rapide à lire. Je rejoins Laëti dans ses impressions. Je suis un peu restée sur ma faim, ne sachant pas comment l'histoire se termine. Mais j'ai beaucoup aimé la manière dont l'histoire est racontée et l'évolution du personnage de Pascaline.

L'extrait que je retiens : "J'étais enveloppée comme dans un sarcophage de glace. Le froid s'était niché sous ma cage thoracique, mon cuir chevelu, la plante de mes pieds, mes ongles, dans ma moelle épinière. Il m'avait investie. Il pesait sur moi, il me suffoquait, il me soumettait à lui. l'appartement m'a semblé aussi humide, aussi profond qu'une cave noire et gelée qui ne voit jamais la lumière".


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